description : Groupe officiel de Gamekyo, où vous pourrez retrouver tests, aperçus, avis de DLC, bilan de Season Pass et parfois des "retour sur" quand la situation le permet.
Conditions de test : effectué sur Xbox Series X à partir d’un code review délivré avec une large avance, mais du coup sans patch Day One. Très très peu de bugs pour le genre, mais tout de même un seul majeur, que j’ai heureusement pu contourner grâce à une précédente save.
Avant toute chose, parlons scénario, parlons univers. Avowed fait le choix de se dérouler dans le même monde que Pillars of Eternity, ce qui à titre personnel est déjà une jolie erreur marketing car malgré l’indéniable succès des deux C-RPG, tout le monde n’y a pas joué et bien des intéressés du RPG disons modernes ne sont pas forcément fans des expériences à l’ancienne. Erreur marketing oui car ce petit détail peut du coup être susceptible d’en freiner certains par peur de débarquer dans un lore établi alors que ça n’a pas lieu d’être : sorti de quelques références, Avowed peut parfaitement se jouer comme un stand-alone vu que l’aventure va prendre place dans une île située bien à part de ce que l’on a vu par le passé. En gros, dîtes vous que c’est un prétexte pour une réutilisation des races et de quelques détails de l’univers afin d’économiser du temps. Et Obsidian aime ça les économies comme vous allez le voir.
L’histoire prend donc place sur l’île dite des « Terres Vivantes », dont certains traits narratifs ne sont pas sans rappeler la colonisation de l’Amérique. D’un côté les natifs qui vivaient tranquilles jusqu’à l’arrivée de colons plus puissants s’accaparant vite des meilleures zones comme le point stratégique côtier (#business), repoussant les colons plus loin dans les terres, pas contents de devoir aujourd’hui travailler et payer pour ce qu’ils avaient auparavant à l’œil. Forcément, on trouve les natifs qui veulent dégager les colons, les natifs qui veulent juste le vivre-ensemble, des colons qui ne demandent rien de plus, et les colons ordures de l’Empire dont une garde spéciale qui n’hésitera pas à rappeler qui sont les nouveaux patrons.
Et vous ? Un envoyé de l’Empire, soldat très haut placé mais bien loin de la politique car votre tâche est toute autre : les Terres Vivantes sont depuis peu atteintes du « Malrêve », une sorte de maladie affectant la flore comme la faune mais également toutes races humanoïdes, colons comme natifs. Au départ, on fait de sales cauchemars (d’où le nom) avant de sombrer dans la folie puis de nous faire une The Last of Us avec des sortes de champignons nous poussant sur la gueule pour agir en berserk dénué de conscience. Bref, vous êtes là pour découvrir d’où vient la maladie et si possible l’éradiquer, en ayant même un soudain statut « d’être divin », donc un individu spécialement touché par la grâce divine (mais de quel ou quels dieux ?), sans que l’on connaisse les véritables intentions supérieures.
Bien entendu, on débutera en créant son personnage avec un large choix de possibilités mais pour des résultats plus proches du PNJ que de l’antagoniste d’un jeu siglé Nomura. Ces choix ne concernent d’ailleurs que le visage vu qu’il est impossible de modeler le corps d’aucune sorte, mais vous pouvez quand même sélectionner vos pronoms, détail visiblement plus important que le reste aux yeux d’Obsidian. Plus sérieusement, notez bien que si l’on peut en quelque sorte choisir sa classe, cela n’a quasiment aucune importance tant le jeu se veut libre dans l’évolution du personnage. En gros, il n’y a que quelques points de stats qui changent (Force, Intelligence, etc), mais rien n’empêche ensuite de vous équiper de tout et n’importe quoi, et de modifier vos points comme ceux de vos compétences moyennant une somme peu élevée.
Je me dois d’entrer maintenant dans ce qui est à mon sens la plus grosse problématique du jeu : son univers, justement. Déjà esthétiquement, c’est vraiment très particulier. La chose passait plutôt bien en 2D donc à l’époque de Pillars of Eternity, mais retranscrit en 3D et avec pourtant une pleine fidélité, en ressort un je-ne-sais-quoi de « jamais vu mais qu’on n’avait pas forcément envie de voir ». Un peu comme un tableau fait par une IA. Y a un mélange de tout et n’importe quoi ne suivant aucune logique particulière, comme le croisement de multiples univers qui ne nous parlent jamais. On a des humains, des nains mais aussi des tronches mélanges entre la poiscaille et Avatar de Cameron, et surtout des « trucs » poilus visuellement immondes. Ce n’est pas raciste, mais c’est quand même vachement moche. Le jeu lui ne l’est pas, et a parfois de très jolis panoramas, mais reste sans éclat particulièrement si vous optez pour le 60FPS (diverses chutes mais quelques correctifs peuvent arranger cela), ce qui augmentera le pop-up en plus de soucis d’occlusion ambiante. L’Unreal Engine 5 quoi.
Et forcément, quand l’esthétique et l’univers nous parlent peu, cela se ressent dans l’appréciation de la narration. Le scénario reste assez travaillé et a ses surprises, avec pour le coup de vrais choix dont certaines conséquences n’auront lieu qu’en fonction de tout ce que vous avez accompli, mais j’ai clairement eu du mal à accrocher faute d’intérêt pour les divers PNJ (hormis celle à la tête de la Garde d’Acier, qui sort totalement du lot). Même chose pour les compagnons, sans romance on s’en fout, mais sans grand intérêt non plus tant chacun est fondé autour d’une psychologie classique de même pour leur background. On s’étonnera d’ailleurs que seul le premier des 4, Kai, est davantage mis en avant que les autres au travers de quêtes associées.
En fait, on va sortir les termes à un moment : on est dans la même veine qu’un Dragon Age : The Veilguard en matière de narration. C’est classique et sans grande prise de risque hormis, tout de même, le fait que votre avatar peut sortir de sa case « loyal bon/con » pour proposer des réponses vraiment… pas gentilles du tout. Oui, on peut être un parfait connard par moment, retournant sa veste en mode « balek » même en détriment de ses compagnons et on a toujours mais rarement ces petits moments d’humour purement Obsidian où l’on peut limite faire part d’un cynisme moqueur en disant à un mec en début de dépression que son frère vient de crever comme une merde. Bon par contre, pas de doublage FR, ce qui est proprement scandaleux pour un jeu soutenu par le plus gros éditeur (tiers) mondial et vendu à 80€. La VO est standard, bien que je continue de me demander pourquoi la moitié des habitants des Terres Vivantes ont un accent russe.
Et du coup, comme Dragon Age : The Veilguard, où va se situer la vraie valeur du jeu ? Dans son gameplay. Sur ce sujet, Obsidian fait un vrai bond en avant depuis The Outer Worlds en terme de rythme et de plaisir de jeu. 4 zones de taille correcte, bien différentes les unes des autres, et j’ai pris un vrai plaisir à quasiment tout torcher de fond en comble (en tout cas toutes les quêtes annexes) en un peu plus de 50h, sans compter une reprise de sauvegarde pour débloquer une autre fin (de ce côté, j’ai eu je pense les deux extrêmes). Avowed se veut être accessible et surtout jamais chiant dans sa façon de faire évoluer le joueur, d’où d’ailleurs cette liberté totale dans l’équipement. Les armures par exemple sont simplement sujettes à un malus de MP donc théoriquement, même un mage peut porter une armure lourde, juste qu’il sera vite en rade, mais vous pourrez combler le problème avec des compétences passives.
Même chose pour les armes qui, hors grenades, peuvent être catégorisées en 7 types : arme à une main (avec ou sans bouclier), arme à deux mains, arc, pistolet, fusil, baguette de mage et livre de sorts. Vous avez deux mains à disposition comme à peu près tout le monde donc rien ne vous empêche d’équiper une épée et un livre de sorts, avec switch direct vers une arme à deux mains comme l’arc. J’ai opté pour cela, car j’avais envie de me la jouer Legolas en enchaînant les headshots sous bullet-time comme un gros traître, et parce que faute de m’être consacré pleinement à la magie, le livre de sorts fut suffisant pour l’exploitation des énigmes via les trois éléments de base (feu, glace, foudre). Après plus vous avancez, mieux vaut en rester à vos acquis car les compétences sont là pour parfaire le feeling avec bonus actifs et passifs, et même un joli fusil théoriquement bien plus puissant que votre arc donnera un résultat moins intéressant si vous n’avez pas associé de compétences derrière, surtout au niveau de la force d'étourdissement (le truc à la mode depuis quelques années, vous savez).
On se répète mais le gros point fort de Avowed, c’est qu’il n’est jamais chiant. Obsidian a fait le choix de consacrer son jeu à la narration et à l’exploration, tandis que le challenge se devait de résider dans les combats et uniquement eux (y a aussi quelques énigmes mais vraiment vite fait). Le reste ? Faut que ça file. Prenons l’endurance par exemple. Elle est essentielle en combat pour les attaques, les parades, les esquives (etc) mais la jauge disparaît tout simplement en dehors de cela : vous pouvez courir en illimité durant vos balades, faire vos grimpettes et même taper des glissades sans que jamais un essoufflement ne vous rappelle à l’ordre. Un inventaire trop chargé ? Vous pouvez désassembler le surplus de matos depuis où vous le souhaitez ou envoyer le plus intéressant dans le coffre du camp comme par magie. Et il y a bien sûr la téléportation (sauf depuis une grotte) mais avec là encore une bonne idée : si vous êtes par exemple devant un apparent donjon, que vous vous TP au campement pour faire vos affaires, on vous propose ensuite si vous le souhaitez de revenir directement devant votre donjon. Car pourquoi vous retapez le voyage dans un jeu où le loot et les ennemis ne réapparaissent pas ?
Donc c’est rapide, ça s’enchaîne vite, ce genre d’expérience où vous ne voyez pas les heures filer et même la forge est d’une simplicité absolue. Chaque type d’arme a la même base exception faite des armes légendaires qui ont des bonus propres, et la forge (directement au campement) permet de faire évoluer l’arme sur une douzaine de niveaux via seulement 4 types d’éléments (en gros, flore, bois, acier et cristaux). Lorsqu’une arme atteint un certain level, elle réclame des éléments plus rares mais pas d’inquiétude, vous pourrez combiner vos stocks de x éléments standards pour en faire des plus rares et ainsi améliorer plus rapidement votre matos sans passer par du farming usant. Le bénéfice de tout cela ? Tout simplement le fait que même en revenant dans une précédente zone en cas de trucs oubliés, donc avec du loot d’éléments peu glorieux, ce que vous ramasserez restera toujours utile une fois fusionné.
De fait, le jeu pousse constamment à l’exploration car le moindre coffre a sa valeur (une bonne arme, même qui ne vous correspond pas, n’aura qu’à être désassemblée pour obtenir encore plus d’éléments). On est pris à tout fouiller, et tenter d’exploiter chaque parcelle de chaque zone, ce qui a tendance à se faire en partie via les quêtes annexes mais également des choses cachées non indiquées sur la map : morceaux de statuette à trouver pour avoir plein de bonus, cartes au trésor, et même parfois des quêtes non indiquées ni sur la carte ni votre journal. Retenez d’ailleurs bien l’emplacement du perso qui vous en file une car vous devrez vous démerder pour le retrouver une fois votre tâche accomplie. Il n’y a que dans les dernières heures que j’ai senti un relâchement, ayant tout simplement trop poncé le jeu au point d’être suréquipé en armes (et armure) légendaires toutes maxées et n’ayant soudainement plus trop d’intérêt pour fouiner.
L’expérience était donc sympathique, pas inoubliable mais suffisamment d’intérêt pour m’occuper plusieurs jours sans jamais rechigner. Si l’évolution est clairement notable depuis The Outer Worlds, il reste néanmoins dommage que le jeu pêche sur plusieurs points par manque de moyens (ironie vu le chéquier de Xbox derrière). Car derrière la surface, on sent les économies et pas uniquement sur l’absence de doublage dans plusieurs langues. Il n’y a par exemple aucun effet météorologique (doit toujours faire beau dans les Terres Vivantes) mais aussi, plus aberrant, aucun cycle jour/nuit. Pas même de nuit tout court. En fait, il ne fait nuit que lorsque vous êtes dans votre campement et dès que vous mettez un pied en dehors, micro temps de chargement et hop, c’est le plein soleil. Bah oui, après tout, pourquoi s’embêter à développer une IA des PNJ qui réagiront à la nuit (genre aller se coucher) s’il n’y a pas de nuit ?
Note :
Avant de partir, j’ai oublié de parler de l’option pour changer de vue. C’est d’ailleurs très cool que Obsidian ait implémenté la chose pour répondre à la demande des fans, et le jeu est d’ailleurs assez jouable en vue à la troisième personne, même si pour la précision (notamment ramasser des objets) et certaines animations hachées, on sent que c’est avant tout fait pour être joué à la première personne. Regrettable néanmoins qu’au lieu d’un switch rapide façon Bethesda, on soit obligé de passer par le menu des options pour changer.
shambala93
C'est mieux que les RPG Bethesda mais c'est pas non plus The Witcher.
Le loot notamment, on voit que c'est fait pour de la première personne et c'est moins pratique à la troisième, mais tu peux très bien t'en sortir comme tel.
Faudra juste faire avec certaines animations assez basiques du perso.
Un conseil : j'ai l'impression que certaines critiques n'en ont pas tenu compte ; vous n'avez pas besoin d'aller dans les options pour passer de la vue à la première à la vue à la troisième personne. Il suffit de maintenir RS (stick droit) enfoncé pendant une seconde pour passer d'une vue à l'autre pendant le jeu, ce qui est parfait pour le combat à la première personne et l'exploration à la troisième personne.
Même The Gamer n'a pas aimé, à noter que même s'ils sont woke (ou "Queer-friendly" selon eux), ils ont une honnêteté qui est a saluer, il ne s'étaient pas couchés devant Dragon Age Failguard notamment.
"Direction artistique vraiment particulière"
J'ai demandé à ChatGPT de m'écrire une meilleure description de cette DA en adoptant un style Lovecraftien :
"L'orientation esthétique adoptée suinte une disharmonie si abjecte qu’elle semble avoir été conçue par une entité blasphématoire, étrangère aux canons mêmes de la raison et du bon goût, une aberration visuelle défiant toute logique humaine et inspirant un malaise indicible."
Aujourd'hui pour un jeu de ce genre, avoir une écriture en retrait pour l'histoire et les personnages c'est fort regrettable. Surtout qu'on parle d'Obsidian. Et comme en plus la mise en scène est désuète, ca ne doit rien arranger. Franchement je ne comprends pas tous ces studios (généralement occidentaux) qui s'obstinent à faire des jeux de ce genre (ou d'autres d'ailleurs) sans travailler sur l'écriture. C'est aussi important que l'ambiance ou le gameplay.
tokito tu peux déjà y jouer sur le gamepass donc déjà pour une misère, c'est con encore un de tes arguments qui ne tient pas... Et sinon c'est pas mal de faire le trie dans les testeurs, belle manière de mettre en avant ce que t'as envie de dire du jeu Pourquoi je suis pas étonné venant de ta part
kikoo31 : Ne t'inquiète pas, certes, il y a une longue inertie avec les studios de jeux vidéo mais ça va se calmer sur le wokisme.
Google vient d'arrêter le DEI, même Disney lève la pédale, pour eux, c'était mal barré !
Facebook, c'est déjà terminé, les grosses multinationales US vont enfin revenir au talent et au mérite.
J'ai une pelleté d'autres exemples mais tu as compris l'idée
Ce qui est marrant mibugishiden, ce sera le regard que l'on portera sur tous ces foirages dans quelques années, surtout ceux qui nieront avoir soutenu tout ça
Obsidian est à mes yeux le PIRE achat de Microsoft. XBOX clairement ne les prends pas au sérieux. Leur budget allouer n'est toujours pas décent, voir jamais, alors qu'ils ont une expertise majeure dans chaque domaine. C'est ahurissant.
Pentiment est un exemple parfait, le gros défaut du jeu c'est les textes sans voix, ni fond, ni rien, juste des bruits de page, c'est affreux, et les gens risquent de passer à côté d'un titre grandiose. J'ai dû activer l'accessibilité des voix robotisé pour apprécier le jeu, au début c'est dur mais après on s'y habitue.
Si Microsoft continue de la sorte de les considérer comme indé, les talents vont vite se barrer. Faut leur faire confiance et donner des finances.
Comment ton jeu ne peut pas avoir un doublage FR de nos jours surtout sous le giron d'une mega corpo ? Wow...
tokito " ce n'est spécialement pour ça que les critiques sont globalement négatives."
C'est donc ca ce qu'on appelle la nouvelle vérité ? Des mecs comme toi qui déforme un fait, fait qui est que le jeu est globalement très bien noté et accueilli.
Bizarrement je t'ai pas vu dire la même chose avec Stellar Blade qui a pourtant la même moyenne. On se demande bien pourquoi...
Ben ouais quand on a une idéologie en tête ca fait des ravages.
shanks J'y joue actuellement et il y a bien un cycle jour/nuit. A moins que le jeu ai été patché, beaucoup d'approximations dans le test quand même.
En tout cas pour l'instant je le trouve vraiment très bon, je suis assez surpris par l'aspect technique. Le jeu est très bien optimisé, c'est très très jolie par endroit (un des + beaux jeux de la gen), L'IQ est ultra propre, l'éclairage béton, c'est stable et sans aucun bugs (juste un ou 2 sonores).
Le jeu a une prise en main hyper intuitive, chose rare dans les RPG, on trouve ses repères très rapidement. Les amateurs de jeux comme Fable vont adorer je pense. Il y a des similitudes
zybear
Attends, sérieusement, y a un cycle jour/nuit depuis le patch Day One ??
Parce que je peux t'assurer que j'ai rien eu pendant 60h de jeu (juste la nuit dans le campement) mais obligatoirement jour infini en exploration et tu viens tellement de me mettre dans le doute que j'ai été vérifié d'autres tests, et je ne mens pas :
"Une fois arrivé à l’un des camps éparpillés un peu partout sur chacune des grandes zones ouvertes, la nuit tombera automatiquement. Nous sommes plutôt déçus qu’un cycle jour/nuit ne soit pas véritablement présent en jeu"
negan
Bah je sais pas, ptéte que la fonctionnalité a toujours été là (je viens d'aller vérifier durant une présentation en août dernier, et ça joue bien en exploration de nuit) mais que y avait un bug qui bloquait le cycle avant le patch Day One.
shanks ton test me rappel celui de IGN (U.S) perso j'aurai mis 6/10 car le monde est sans vie. Les PNJ réagissent à aucunes de nos actions et le scénar est assez basique.
C’est mieux que les jeux bethesda ?
Y’a quelques points qui me donnent envie mais les RPG à la vue première personne, je ne peux pas, j’ai l’impression de jouer un type bourré.
C'est mieux que les RPG Bethesda mais c'est pas non plus The Witcher.
Le loot notamment, on voit que c'est fait pour de la première personne et c'est moins pratique à la troisième, mais tu peux très bien t'en sortir comme tel.
Faudra juste faire avec certaines animations assez basiques du perso.
Le Gameplay de TW3 n’était déjà pas fameux .
Ça a le mérite de proposer, on verra bien, merci pour le test !
shanks https://x.com/klobrille/status/1890040202883973441
Un conseil : j'ai l'impression que certaines critiques n'en ont pas tenu compte ; vous n'avez pas besoin d'aller dans les options pour passer de la vue à la première à la vue à la troisième personne. Il suffit de maintenir RS (stick droit) enfoncé pendant une seconde pour passer d'une vue à l'autre pendant le jeu, ce qui est parfait pour le combat à la première personne et l'exploration à la troisième personne.
Ca s'achètera une bouché de pain comme Dragon Age dans quelques mois.
Rappelons que le directeur artistique du studio se vante de discriminer les gens en raison de leur origine ethnique pour le recrutement.
Même jv.com fracasse le jeu alors qu'ils surnotent tout ce qui est woke mibugishiden
https://www.jeuxvideo.com/test/1969306/avowed-est-il-vraiment-a-la-hauteur-de-the-elder-scrolls-skyrim.htm
c'est du scam
Yep.
Sinon ça sent le bon jeu mais je m'attendais pas à davantage
ça dépend.
Plus de 50h large pour tout faire.
Moins de 20 en ligne plus ou moins droite mais tu vas perdre tout l'intérêt du jeu qui est son exploration.
https://www.thegamer.com/avowed-review/
Sacré gamelle pour Avowed, je prends les paris que ça coutera une misère dans quelques mois
J'ai demandé à ChatGPT de m'écrire une meilleure description de cette DA en adoptant un style Lovecraftien :
"L'orientation esthétique adoptée suinte une disharmonie si abjecte qu’elle semble avoir été conçue par une entité blasphématoire, étrangère aux canons mêmes de la raison et du bon goût, une aberration visuelle défiant toute logique humaine et inspirant un malaise indicible."
C'est parfait
tokito 13 sur jv.com qui surnotent tout ca craint
https://x.com/Mangalawyer/status/1890087465253490776
Google vient d'arrêter le DEI, même Disney lève la pédale, pour eux, c'était mal barré !
Facebook, c'est déjà terminé, les grosses multinationales US vont enfin revenir au talent et au mérite.
J'ai une pelleté d'autres exemples mais tu as compris l'idée
Ce qui est marrant mibugishiden, ce sera le regard que l'on portera sur tous ces foirages dans quelques années, surtout ceux qui nieront avoir soutenu tout ça
jackfrost : Je te recommande cette sélection de tests FR, s'il n'y avait que ça !
https://www.gamekyo.com/group_article58865.html#article-comment-930488
Pentiment est un exemple parfait, le gros défaut du jeu c'est les textes sans voix, ni fond, ni rien, juste des bruits de page, c'est affreux, et les gens risquent de passer à côté d'un titre grandiose. J'ai dû activer l'accessibilité des voix robotisé pour apprécier le jeu, au début c'est dur mais après on s'y habitue.
Si Microsoft continue de la sorte de les considérer comme indé, les talents vont vite se barrer. Faut leur faire confiance et donner des finances.
Comment ton jeu ne peut pas avoir un doublage FR de nos jours surtout sous le giron d'une mega corpo ? Wow...
Mais, on est très loin du désastre Dragon Age, ce n'est spécialement pour ça que les critiques sont globalement négatives.
Ca n'empêche pas la presse-poubelle de surnoter le jeu bien entendu.
https://fr.ign.com/avowed/74235/review/test-avowed-un-nouveau-classique-du-rpg-fantastique-supplement-champignons
C'est donc ca ce qu'on appelle la nouvelle vérité ? Des mecs comme toi qui déforme un fait, fait qui est que le jeu est globalement très bien noté et accueilli.
Bizarrement je t'ai pas vu dire la même chose avec Stellar Blade qui a pourtant la même moyenne. On se demande bien pourquoi...
Ben ouais quand on a une idéologie en tête ca fait des ravages.
Concord 16/20
Moi, aussi j'aime les chèques. Je vais noter Concord 19/20.
le changement de vu ne necessite pas d'aller dans les options
yep bah trop tard je l'ai torché
En tout cas pour l'instant je le trouve vraiment très bon, je suis assez surpris par l'aspect technique. Le jeu est très bien optimisé, c'est très très jolie par endroit (un des + beaux jeux de la gen), L'IQ est ultra propre, l'éclairage béton, c'est stable et sans aucun bugs (juste un ou 2 sonores).
Le jeu a une prise en main hyper intuitive, chose rare dans les RPG, on trouve ses repères très rapidement. Les amateurs de jeux comme Fable vont adorer je pense. Il y a des similitudes
C'est très subjectif
Et ce sera le même scénario avec une exclues PS5 :
Les possesseurs de Playstation 5 trouvent le jeu très bon, les joueurs Xbox Series le trouvent nul
Bref, ca vaudra toujours le coup dans le Game Pass pour 8 euros par mois sur Instant Gaming
Attends, sérieusement, y a un cycle jour/nuit depuis le patch Day One ??
Parce que je peux t'assurer que j'ai rien eu pendant 60h de jeu (juste la nuit dans le campement) mais obligatoirement jour infini en exploration et tu viens tellement de me mettre dans le doute que j'ai été vérifié d'autres tests, et je ne mens pas :
https://www.actugaming.net/test-avowed-review-700680/
"Une fois arrivé à l’un des camps éparpillés un peu partout sur chacune des grandes zones ouvertes, la nuit tombera automatiquement. Nous sommes plutôt déçus qu’un cycle jour/nuit ne soit pas véritablement présent en jeu"
Bah je sais pas, ptéte que la fonctionnalité a toujours été là (je viens d'aller vérifier durant une présentation en août dernier, et ça joue bien en exploration de nuit) mais que y avait un bug qui bloquait le cycle avant le patch Day One.
Vas-y, comment je suis censé deviner moi aussi.
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