Avez-vous déjà rêvé d’une meilleure version de vous-même ? Vous devriez essayer ce nouveau produit : THE SUBSTANCEIl a changé ma vie. Il permet de générer une autre version de vous-même, plus jeune, plus belle, plus parfaite.
Franceinfo Culture 5/5
Avec ses décors superbes, son interprétation remarquable, sa photo et ses effets spéciaux de grande classe, "The Substance" réunit tous les atouts pour séduire les amateurs du film de genre.
Le Parisien 5/5
Avec ce film très drôle, jouissif et à la réalisation léchée, Coralie Fargeat porte aussi un discours percutant sur la quête de l’éternelle jeunesse. On adore sa folie et celle de Demi Moore, qui a accepté ce rôle avec panache.
Ecran Large 4/5
Coralie Fargeat devient la nouvelle reine de l’horreur avec "The Substance", où la quête effrénée de la beauté éternelle amène à un cauchemar de body horror sans limites incroyablement porté par le duo Demi Moore-Margaret Qualley.
La Voix du Nord 4/5
C’est là qu’il faut aussi rendre hommage à Demi Moore, 61 ans, sex-symbol des années 90 (Ghost, Proposition indécente, Harcèlement, Striptease…). Quasiment dans son propre rôle, offerte comme jamais dans ce qui restera le rôle de sa vie, elle livre une prestation hallucinante de force et d’engagement. Come-back monstrueux !
Ouest France 4/5
Héritière de Cronenberg, Coralie Fargeat met un coup de pied dans le cinéma de genre (...).
Première 4/5
Coralie Fargeat appuie sur toutes les touches d’un bestiaire cinéphile identifié (au choix : Cronenberg, Carpenter, Verhoeven, de Palma, Peter Jackson première manière...), pour les greffer à sa propre vision d’auteure. Une vision qui l’emmène très loin, jusqu’au bout d’une route sans retour.
Télérama 4/5
S’il n’y a qu’une idée à l’œuvre, Coralie Fargeat l’exploite jusqu’à la moelle et en tire des visions insensées, d’une indéniable puissance plastique.
Cahiers du Cinéma 3/5
The Substance, prix de scénario à Cannes, c’est un Faust qui s’est ouvert le dos. Dans un placenta aux nuances de Baby Jane et de Fedora, il accouche d’un bébé sanglant abreuvé par le body horror, exposant sa carcasse à la lumière amère d’Andersen et de Dorian Gray.
Le Figaro 3/5
Coralie Fargeat, qui s'était déjà illustrée dans le brutal avec Revenge, repousse les limites du grand-guignol avec un élan assez communicatif. Elle ne lésine pas sur l'audace et l'hémoglobine. Elles coulent à flots.
Le Monde 3/5
Sous son art de la surface un peu clinquant, The Substance fait spectacle d’une angoisse profonde et intimement féminine : la hantise de l’informe, à travers la lutte muette entre la chair des deux actrices : l’une qui se défait, l’autre qui triomphe – et la remplace.
Le Point 3/5
Fargeat pousse tous les potards à fond, sature à mort la bande-son et, si vous êtes prêts et consentants à trente minutes ultimes dans le tambour de la machine à laver, le dernier virage vous électrisera autant qu'un tour de grand huit sous amphétamines. Dans le cas où, au contraire, vous seriez plutôt d'humeur Downton Abbey, un seul conseil : fuyez, pauvres fous !
Les Echos 3/5
Dans son second long-métrage, Coralie Fargeat invente une relecture moderne des mythes de Dorian Gray et du Docteur Jekyll. Un spectacle sauvage, intense mais surchargé.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Trop à plus d’un titre (trop long, trop gore, trop bas du front, trop vulgaire et grotesque), "The Substance" est aussi un petit brûlot marrant, planté droit dans ses bottes et sa mauvaise humeur, déclinant sans chichis une équation simple et cohérente.
Mad Movies 3/5
POUR : Beaucoup trop long et maladroit, mais difficile de ne pas saluer une telle volonté d'aller à l'extrême.
Libération 2/5
Film «body horror» où Demi Moore incarne un ex-sex symbol droguée à un sérum de jouvence, le second long de la Française Coralie Fargeat sur le vieillissement féminin se révèle laid et anxiogène.
Les Inrockuptibles 1/5
Misant sur un principe d’efficacité et de gradation dans l’horreur, le film se délecte de la cruauté de son jeu de massacre (...). Comment faire avec le temps qui passe ? Voilà une question à laquelle "The Substance" ne songe jamais.
Mad Movies 1/5
CONTRE : On sentait venir l'entourloupe, mais à l'arrivée, The Substance est encore pire que prévu en matière de pétard mouillé.
Margaret Qualley est magnifique. Par contre un truc marrant. La qualité des images de nos jours nous permet de voir les poils de cul de Demi Moore dans la première partie du film. J'ai trouvé ça drôle. C'est pas le genre de détails qu'on aurait eu avant. Sinon le film c'est on aimes ou non. Comme les films de Cronenberg. J'ai bien aimé !
Franceinfo Culture qui met 5/5 sous prétexte que Coralie Fargeat était aux commandes, ni plus ni moins. Chauvinisme pur.
C'est un pauvre épisode des Contes de la Crypte étiré sur 2h20 interminables.
Ca aurait pu fonctionner, un peu mieux, sur 1h30, en taillant dans les bien trop nombreux plans au ralenti sur le cul des actrices ou sur les passages osef qui ne manquent pas (et qui n'apportent quasi rien à l'intrigue, qui tient sur un mouchoir de poche).
Dommage, le potentiel était là, mais non, c'est pas bon du tout au final.
Si vous voulez voir un film d'horreur, simple mais efficace, dans un format ramassé (1h30), tournez vous plutôt vers un truc comme Underwater, etc
J'ai pas les mots de ce film.Il représente exactement ce que c'est un film récompensé au festival de Cannes.Un film pour bobo bourgeois a qui la coke et les amphétamines ne font plus effet et ont besoin d'un film avec un gore aussi inutile que pathétique. Un script de 3 lignes avec des plans de caméra sous champi. J'ai perdu 2 H30 de ma vie.
C'est un pauvre épisode des Contes de la Crypte étiré sur 2h20 interminables.
Ca aurait pu fonctionner, un peu mieux, sur 1h30, en taillant dans les bien trop nombreux plans au ralenti sur le cul des actrices ou sur les passages osef qui ne manquent pas (et qui n'apportent quasi rien à l'intrigue, qui tient sur un mouchoir de poche).
Dommage, le potentiel était là, mais non, c'est pas bon du tout au final.
Si vous voulez voir un film d'horreur, simple mais efficace, dans un format ramassé (1h30), tournez vous plutôt vers un truc comme Underwater, etc