C'était quand même une belle année! Des déceptions, des surprises... Des jeux qui ont marqués les esprits pour des générations, d'autres qui sombreront dans l'oubli.
Il y en a eu pour tous les goûts, tous les âges, toutes les plateformes. Le Jeu Vidéo a encore de belles années devant lui! Avec l'arrivée des nouvelles technologies, d'une scène indépendante en pleine explosion ainsi qu'une communauté de joueurs de plus en plus grande, il ne fait aucun doute que le meilleur reste à venir.
Et vous? Quels ont été les jeux de 2015 qui vous ont marqués ou déçus?
Des sources proches du site Kotaku ont rapporté que No Man's Sky aurait été repoussé pour au moins Juillet ou Aout alors qu'il était à l'origine prévu pour le 21 Juin.
Kotaku avait à la base une source viable qui a rapporté le report puis une seconde travaillant chez GameStop a confirmé que leurs boutiques ont reçu des instructions afin de remplacer toutes les mentions du 21 Juin sur les publicités par un "Diponible Prochainement".
Je vois déjà venir les larmes de certains joueurs qui attendent le titre impatiemment mais il faut se dire que si l'équipe de Hello Games reporte le jeu, c'est qu'il reste encore un peu de boulot. En même temps, c'est pas tout les jours que l'on développe un jeu permettant d'explorer l'univers.
Difficile de parler de SOMA sans spoiler le scénario principal. Pour être plus précis, difficile de parler de ce qui vous fera vous jeter sur le titre sans vous ruiner le jeu. Je resterai donc assez vague sur ce point.
SOMA fait parti de ces titres qu'on aborde en pensant s'attaquer à un jeu sans grande envergure, un simple survival-horror, mais au final le jeu se révèle extraordinaire, plus profond et devient une expérience inoubliable...
Vous incarnez Simon, un pauvre bonhomme qui, après un grave traumatisme cérébral, se voit accepté dans un essai clinique afin de soigner sont cerveau abîmé. Jusque là, tout va bien. Mais à son réveil, point d'infirmière accueillante, point de gelée à la cerise, juste une base sous-marine à l'ambiance aussi angoissante qu'oppressante. Et c'est là qu'on se dit que crever dans son sommeil, c'est pas si dégueulasse!
A l'instar de Amnesia, aucun moyen de se défendre, une pauvre lampe torche et vos jambes comme équipement. Oh, et petit détail mais pas des moindres, notre protagoniste réagi très mal au stress. Bah oui, avec son pépin au ciboulot, Simon n'aime pas trop la pression. C'est quand même dommage quand on se retrouve dans un complexe sous-marin rempli de saloperies qui veulent vous faire la peau!
Avec sa direction artistique à couper le souffle et son ambiance sonore impeccable on se met vite à la place de notre cher Simon et on en vient à se demander s'il est le seul à mal réagir dans des situations stressantes. Parce qu'entre nous, le jeu m'a poussé à bout par moment. Vous savez? Ce moment où, psychologiquement, ça devient une épreuve de prendre la manette et de continuer votre progression tellement le stress est en train de vous bouffer. (Bon, après, je fais parti de ces gens qui ne jouent pas aux jeux-vidéos mais qui les vivent, ça joue.)
Le jeu enchaîne phases d'exploration, de survival-horror, d'énigme et de narration tellement bien que plus l'on progresse plus l'on a envie de progresser. Petit à petit le scénario se dévoile et on veut en savoir plus. Parce que vous pensiez que les points cités plus haut étaient les points fort du jeu? Haha, pauvres fous! C'est que du bonus! LE point fort du jeu, c'est son scénario. Une beigne, une claque, une mandale digne des plus grands du genre... (Si il y a bien un jeu à adapter en film c'est celui-ci.) J'aimerais vraiment vous en parler mais ce serait comme vous donner un BigMac après que j'ai mangé le steak.
L'aventure dure une douzaine d'heure mais ça reste variable. Tout dépendra de votre temps à craquer les énigmes, à explorer, à lire (il y a pas mal de lecture) ainsi qu'à passer les moments "chauds". Ce n'est pas un jeu très difficile. Je suis mort deux fois dont une fois débilement, sans lien avec la difficulté du jeu donc bon...
En résumé, Frictional Games prouve une fois de plus que le survival horror est LEUR domaine et qu'ils maîtrisent le sujet du bout des doigts. On ressort de SOMA plus grand, plein de réflexion sur des sujets complexes et on attend impatiemment leur prochain projet en espérant qu'ils continuent sur cette lancée.
Petit article pour présenter un peu The Culling. Le jeu de Battle Royale. Pour commencer, petit trailer.
Le principe est simple, 16 participants, 20 minutes, 1 seul vainqueur.
Alors des modes BR, il y en a sur ArmA, sur H1Z1 mais jamais un jeu n'a été autant fidèle au principe de Battle Royale que The Culling.
Vous commencez dans une boîte, à poil, quelque part sur l'île et la chasse à l'homme commence. ( )
Votre personnage est personnalisable par des compétences ( 3 parmi un large choix ) ainsi que du cosmétique. (Tenues, masques, etc...)
Vous gagnez des points en craftant, en fragant et avec certaines actions contextuelles. (Je reviendrais plus tard sur l'utilité de ces points.)
Le jeu incorpore un système de craft très simple qui permet d'avoir les moyens de se défendre assez rapidement. (Avec 2 cailloux tu fais un couteau, un bout de bois et de l'essence pour un bâton de dynamite, etc...)
Mais ce n'est pas le seul moyen pour s'équiper. Il y a des items dans les placards, les armoires et autres... Vous pouvez trouver dans ces derniers du soin, des boosts, des tazers, du matériel de craft, etc...
Il y a également 3 types de boîtes.
Les vertes que tout monde peut ouvrir contenant du loot aléatoire.
Les bleues ouvrable à l'aide de 50 points contenant du loot plus cossu.
Et les rouges, ouvrable uniquement à l'aide d'explosif, contenant du loot bingo bonus.
Il y a également un système d'air drop (largage aérien) permettant de recevoir de l'équipement contre plus de 100 points. C'est repérable par les autres joueurs et également interceptable.
Au fur et à mesure que la BR progresse, le gaz restreint certains zones de la map pour finir sur une arène où les quelques survivants devront en finir une bonne fois pour toute.
Voilà, j'ai 4 clés à faire tourner. Si il y a des intéressés il suffit de mettre un commentaire sur l'article et j'envoie la clé par MP.
Bon jeu à tous.
Pour l'instant je suis pas fan, j'me fait complètement exploser. Je fais que du mode arène et j'ai gagné 1 partie sur 6 et encore, parce qu'il y avait un pgm dans ma team.
Mais je vais persévérer un peu, c'est mon premier MOBA. Je me doute que la route est longue avant de prendre du plaisir dessus mais je vais au moins essayer de progresser.
En ce début d'année 2016 et comme chaque année nous faisons le bilan sur l'année précédente tout en ayant les yeux rivés sur l'avenir. C'est aussi ça la passion du jeux vidéo. On se remémore les heures de jeu passées sur des titres qui nous ont marqué avec le sourire aux lèvres, on repense aux déceptions avec un pincement au coeur et l'on espère que les titres à venir nos procurons des sensations nouvelles et inoubliables.
Entre une PS4 qui se vend comme des petits pains avec un support total des tiers, une One qui remonte la pente comme une championne et le PC qui ne cesse de mettre en avant des prouesses technologiques il y a bien une chose dont on peut être sûr, c'est que le JV à encore beaucoup de chose à nous "offrir".
Et tout particulièrement cette année 2016! Avec une liste de blockbusters incroyable digne de l'ère PS2 (bon, on attend de voir les reports) cette année s'annonce chargée! Que ce soit du côté des jeux solo tout comme les jeux multijoueurs.
Avec des suites de licences encensées par la critique et les joueurs comme Mass Effect, Gears of War, Uncharted, Doom, Mirror's Edge, Nier, Final Fantasy, Deus Ex, Dishonored, Street Fighter, Hitman ou encore Persona il est évident que l'année 2016 ne nous laissera aucun moment de creux et de répit comme l'a pu faire cette année 2015.
Mais ce n'est pas tout. En plus de la précédente liste de jeu énoncée plus haut, déjà conséquente mine de rien, une pléthore de nouvelles IP viennent pointer le bout de leur nez et ce, pour notre grand plaisir. Wild, Quantum Break, Unravel, The Last Guardian, Sea of Thieves, For Honor, Horizon, No man's Sky, sans oublier le monstrueux Star Citizen pour les heureux possesseurs de belle machine, etc...
Bref, notre vie sociale et notre portefeuille sont partis pour prendre une tarte et on se laisserait presque faire tellement c'est beau! J'ai bien évidemment oublier des titres parce qu'ils y en a une chiée, qu'on se le dise! Nous ne sommes pas à l'abri de reports, c'est une certitude mais en voici une autre : on ne s'ennuiera pas pour autant.
Et vous quelles sont vos plus grosses attentes pour 2016?
Bonsoir à toutes et à tous! Je viens tout juste de terminer TW3 pour la troisième fois et après toutes ces heures à bourlinguer, je me suis dis qu'il était temps de faire un bilan. (Et peut-être convaincre les fous qui ne se sont pas encore lancé dans l'aventure.)
Commençons par parler ambiance/direction artistique
Dépaysant, enivrant et crédible. L'univers de The Witcher nous plonge dans une époque médiévale sombre et fantastique qui n'a de cesse de nous couper le souffle au fur et à mesure de notre progression.
Des plaines de Blanchefleur, aux marais de Velen, en passant par l' Archipel de Skellige TOUT les décors sont sublimes et criant de réalisme. J'ai beau y avoir passé 300H à sa sortie, j'ai réussi à être émerveillé lors de cette troisième partie aussi intensément que la première fois.
Ce qui me choque le plus c'est le soucis du détail de CD Projekt Red. Et je ne parle pas seulement de l'aspect visuel du titre mais également du soin apporté au moindre personnage, même les péquenauds qui triment pour une miche de pain dans un champ de blé sont travaillés.
Et le monde est tellement vivant! Que ce soit les villes pleines de monde ou les forêts bondées de créatures voulant se faire un bonnet avec votre scalpe, tout est fait pour rendre le monde The Witcher 3 animé.
Et puis l'OST, on en parle? Nan parce que depuis Nier, je n'étais pas resté autant bloqué sur une OST! Irréprochable! Chaque morceau vous frappe dans les gencives et dans les tripes. Venant ajouter la cerise sur le gâteau de cet univers d'une richesse incroyable. Des pistes épiques qui vous mettent en transe lors d'un combat aux petites d'ambiances dans les rue de Novigrad ( les ambiances des tavernes ) il n'y a rien à jeter.
Bon, c'est joli, c'est prenant, mais est-ce que le scénario tiens la route?
C'est simple, une fois le jeu lancé, on a du mal à le lâcher. Ça commence tout doucement, à la recherche de Ciri. Puis les rencontres s'enchaînent, le scénario se met en place et on en prend littéralement plein a tronche! (Bon, tout le passage avec Jaskier est assez lourd lorsque l'on recommence le jeu mais la première fois, ça va.)
Je vais pas trop rester parler du scénario pour ne pas spoiler les retardataires au fond à droite mais, qu'on se le dise, c'est solide, ça vous prend par le colback et vous maintiens le nez sur l'écran pendant des heures même en ne faisant que l'histoire principal.
Et le Gameplay?
Parce que bon, c'est joli, c'est vivant, chronophage, le scénario envoi mais est-ce que c'est agréable à jouer?
The Witcher propose un Gameplay exigeant mais tout de même accessible. Il faut être vif, se préparer avant chaque combat important (et encore, j'ai pas bu une seule décoction ou utilisé une huile en marche de la mort donc bon... ) et bien utiliser les signes à notre disposition.
Chaque adversaire propose un challenge différent ce qui fait que tout les combats sont relativement variés. Ce qui brise une monotonie qui pourrait s'installer avec le temps mais ne le fait pas.Et c'est à ce genre de détail que l'on reconnait un bon jeu.
En résumé :
The Witcher 3 propose une aventure vidéoludique incroyable. C'est le genre de jeu duquel on parlera dans 10 avec nostalgie, sourire aux lèvres et passion. Un gameplay addictif, un univers chronophage et déphasant, voilà ce qui vous attend dans The Witcher 3. Si vous ne deviez vous souvenir d'un seul et unique jeu de l'année 2015, c'est clairement celui-ci.